Ines De La Fressange Mari

Ines De La Fressange Mari – Violette d’Urso, fille d’Inès de la Fressange, a écrit un livre sur la façon dont elle a surmonté la mort de son père, décédé d’une crise cardiaque en 2006. Le livre s’intitule Même le bruit de la nuit a changé (Éd. Flamarion). Après avoir enquêté sur cette figure paternelle, la jeune femme a appris une information troublante qu’elle a partagée avec nos frères du JDD.
Elle en savait très peu sur son père avant de commencer à fouiller dans son passé. Pour son nouveau roman, “Même le bruit de la nuit a changé”, publié le 22 mars aux éditions Flammarion, Violette d’Urso, fille d’Inès de la Fressange et de Luigi d’Urso, est partie à la recherche de son père, disparu après une crise cardiaque en 2006. Dans leur édition du dimanche 19 mars, notre confrérie du JDD rapportait que le deuil de la jeune femme « a duré onze ans ».
Je pense tout le temps à mon père », raconte l’élève qui a appris la terrible nouvelle en revenant d’un voyage scolaire. Quand on est enfant, perdre un parent est une expérience très douloureuse.
Alors que d’autres membres de sa famille préféraient « ne voir que le bon côté des choses », Violette d’Urso préférait « affronter la vérité la plus crue ». Par conséquent, elle a fait des recherches approfondies sur l’identité de son père disparu. Nos frères avaient décrit Luigi d’Orso comme “un excessif et un excentrique” qui était aussi “autodestructeur”, “passionné” d’art, “hypersensible” et “un dandy”, mais maintenant elle connaît ses côtés les plus sombres : “la toxicomanie et la dépendance à l’héroïne ; l’alcoolisme. »
La mère de l’intéressé est décédée dans un accident de voiture après avoir souffert de toxicomanie. Il avait neuf ans. Comme je l’ai fait avec les mots, il a comblé le vide avec le héros. Mon père est vraiment fier de m’avoir comme fille. Il me semblait que la personne qui aurait pu le mieux moi comprendre au monde était lui”, a détaillé la soeur de Nine d’Urso.
« Changée » depuis l’écriture de son livre, Violette d’Urso
Il y a des traces inévitables laissées par l’écriture de ce livre et les recherches qu’il a entraînées. Le JDD rappelle que Violette d’Urso a repoussé l’achèvement de cet ouvrage après l’arrivée du Covid en 2020. Lors de ses deuxième et troisième confinements, elle a continué à écrire depuis la ville de Marseille, où elle avait auparavant emménagé, « pendant les jours de 8 heures
C’est important de libérer les âmes, pourtant elles reviendront te donner un signe. Celui qui “est sorti changé de son enquête” a avoué, “j’aime voir un peu de magie dans le monde”.La femme de 23 ans est arrivée à la conclusion que s’il est important de prêter attention aux autres à tout moment, il est également important de ne pas laisser ses propres souvenirs se mettre en travers de son chemin. C’est ce qu’elle a accompli dans son roman, qui mêle réalité et fiction.
Il y a près de onze ans, le mari d’Inès de la Fressange, Luigi d’Urso, est décédé d’une crise cardiaque dans leur appartement parisien. Il n’avait que 55 ans. Inès s’est retrouvée à la maison avec les deux filles de son compagnon, Nine et Violette. Elle a caché ce secret à ses enfants, et seul son plus jeune l’a découvert.
La perte d’un père alors qu’on n’a que six ans est presque intolérable. C’est pourtant le drame qu’a dû endurer Violette, la cadette d’Inès de la Fressange et de Luigi d’Urso. Il a rendu son dernier soupir le 23 mars 2006, à l’âge de 55 ans, dans son appartement parisien après avoir été vaincu par une crise cardiaque. Inès de la Fressange entre alors dans une dépression profonde et douloureuse dont elle doit sortir forte pour le bien de ses filles.
Elle ne révélera jamais les secrets de son père. Pourtant, pour une Violette curieuse et inquisitrice, qui se pose de nombreuses questions sur le père qu’elle a à peine connu, ce n’est pas une perte de temps d’essayer de trouver les réponses.
Un peu plus de dix ans et demi plus tard, Violette raconte comment son chagrin à la mort de son père l’a inspirée à écrire un livre. Elle écrit dans les colonnes du Journal du Dimanche, “La perte d’un parent, c’est une expérience de deuil particulier. On ne peut pas construire quelque chose sans se détruire au passage”. Pourtant, la jeune femme s’est vite rendu compte qu’elle ne pouvait compter sur personne d’autre qu’elle-même dans sa quête pour en savoir plus sur son père.
Elle a donc beaucoup demandé à divers parents et amis et a obtenu les informations dont elle avait besoin. Une vérité qu’elle fait connaître dans son prochain livre, Même le bruit de la nuit a changé (Flammarion, 22 mars), qui est tout sauf agréable pour les oreilles.
L’un des mannequins les plus célèbres de l’histoire de la mode est Ines de la Fressange. Inès de la Fressange est née le 11 août 1957 dans le Var en France, près de Saint-Tropez. Elle a toujours été intéressée à poursuivre une carrière dans le mannequinat. Vu pour la première fois dans une série de photographies prises par Oliviero Toscani pour le magazine ELLE en 1975, un an seulement après ses débuts !

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